Ce blog ne s’est pas créé tout seul. Ce n’est pas un produit de l’IA non plus. C’est moi qui l’ai monté (merci aux cours d’Udemy !), qui ai pris de temps de l’écriture, mot par mot.
Alors autant me présenter.

Ma bulle familiale

Commençons par le début : je m’appelle Caroline Gagnaire.
Mes parents, ma sœur et l’ensemble de ma famille vivent en France.
Après quelques déménagements, me voici avec mon mari, nos trois enfants, deux chiens et deux chats à Montréal. Ça fait du monde, dans une maison !
Une bulle familiale sacrée, ce jardin secret qui permet de planter puis faire germer de jolis projets.

Parcours professionnel

Mon cheminement (je ne parlerai pas de carrière) est éclectique, au même titre que mes lectures. Pas de calculs, mais des réponses à mes aspirations, coups de cœur, l’envie de découvrir de nouveaux horizons.
Les chats ont neuf vies. On pourrait dire qu’entre la grande distribution, la naturopathie, l’enseignement privé et les technologies environnementales, je m’offre un parcours professionnel félin !
Les lectures et l’écriture n’ont jamais été loin. 

Le temps de la lecture

La lecture fait partie de ma sphère privée, intime.
Dès la maternelle, le préscolaire, je voulais savoir lire et écrire. Les pages chargées de phrases alignées me fascinaient. Je voulais les décoder, arracher leurs secrets. Des formules magiques peut-être ?
J’ai lu rapidement, me suis plongée très tôt, dans les livres, les « vrais ». Et cet appétit ne m’a jamais quittée.
De grands titres, de grands auteurs m’ont profondément marquée. Ils ont suivi religieusement chacun de nos déplacements. Pour en découvrir d’autres, je prends volontiers le chemin de la bibliothèque. Une habitude tenace.

La bibliothèque, c’est un lieu qui me touche. Ne serait-ce que par sa mission : mettre le livre à portée de tous. À chacune de mes visites, je prends le temps d’observer (discrètement, bien sûr. Je sais me tenir, tout de même) les personnes qui y travaillent, celles qui étudient, ou encore qui hésitent entre deux titres. Cet amour du livre et du partage recèle quelque chose de l’ordre du généreux et du merveilleux.

Le temps de l’écriture

Mes premiers pas : des gribouillis, pour essayer de faire comme les grands.
Ensuite le temps de l’apprentissage, avec cette satisfaction intense de pouvoir écrire, enfin, des lettres, des mots, des phrases.
L’écriture est restée en filigrane, tout au long de mon chemin professionnel.
Plus particulièrement du temps de la naturopathie. J’avais créé et tenais un blog dans lequel je donnais certaines explications, partageais des propositions de soin ou encore le fruit de recherches. Quand j’ai tourné la page de la naturopathie, j’ai décidé de fermer ce blog. Un temps pour tout.
J’ai beaucoup écrit pour les autres. De révisions de textes en réécriture de documents, en passant par les écritures de mails ou d’articles. Dans l’anonymat.

Et le blog dans tout ça ?

Écrire ce blog est une façon de me faire plaisir. Je ne suis plus dans une obligation, un carcan où il faut respecter les codes. C’est le chemin de la liberté : celle d’exprimer mes idées avec mon propre style, celle de poser ce que j’ai envie de partager sur le papier.
Je retrouve sans aucun doute une appropriation. Sans me mettre en avant, il s’agit de mes écrits. C’est peu, et c’est beaucoup en même temps. 
Je vais m’arrêter là car j’en parle plus loin, dans L’ADN de L’entre2pages. Je ne vais pas commencer à radoter, tout de même…
Place à la créativité !