La Datcha
Agnès Martin-Lugand
Hermine revient de loin. Elle finit à peine de grandir mais a déjà cent vies. Le hasard lui offrira une rencontre : celle qui lui donnera la chance de se reconstruire, de trouver et créer une famille. Grâce à Jo et Macha, elle trouvera sa maison, sa Datcha.
C’est cette grande histoire d’amour que raconte Agnès Martin-Lugand.
Une histoire au fil du temps
Le récit n’est pas linéaire. Après avoir introduit son héroïne ainsi que sa rencontre avec ses parents de substitution, Agnès Martin-Lugand fait un bond de vingt ans en avant.
Le fossé sera comblé par touches, de ci de là. Les événements seront parfois évoqués, souvent approfondis. Une fois dans le passé, une autre dans le présent. Seront ainsi dessinés les liens d’amitié, d’amour, les liens familiaux et plus particulièrement filiaux. Les tragédies et les grands bonheurs vont de pair, ainsi que les espoirs, les craintes et les passions : toute une palette d’expériences et d’émotions.
La Datcha, c’est aussi une histoire de destruction et reconstruction, de deuils et de transmission, de séparation et d’attachement, avec un portrait de femme toute en résilience, qui va de l’avant.
Des émotions étudiées au microscope
J’ai ouvert les pages de La Datcha après avoir lu un « post » à propos d’Agnès Martin-Lugand. J’en étais très curieuse.
J’ai accroché dès les premières pages, puis toute la première moitié du livre. Un joli style, une belle approche.
J’avoue que j’ai ensuite décroché car je trouvais trop de répétitions et de stagnation. Peut-être est-ce de ma faute. Je trouve beaucoup de redites et lourdeurs dans les livres en ce moment. Sans doute suis-je une lectrice impatiente, trop axée sur le rythme et le déroulé de l’histoire.
Cela ne m’empêchera pas de lire d’autres romans de cette autrice, avec tout autant de curiosité.
Formats proposés à la bibliothèque
Outre le format de poche classique, le catalogue et le réseau des bibliothèques de Montréal proposent La Datcha sous les formats suivants :
- Livre parlant
- Gros caractères

