Le café où vivent les souvenirs
Toshikazu Kawaguchi
Le succès ne se dément pas. La série initiée par Tant que le café est encore chaud s’enrichit d’un nouvel opus, et Toshikazu Kawaguchi remplit une troisième fois les tasses de café du divin breuvage.
En route pour les voyages initiatiques au Café où vivent les souvenirs…
La continuité dans le changement
Le café où vivent les souvenirs a changé de nom. Exit le Funiculi Funicula, bienvenue au Dona Dona. Le décorum a légèrement changé, avec une nouvelle ville, un nouveau fantôme et un nouveau serveur.
Toutefois, Nagare et Kazu s’occupent toujours du café, Yakuri n’est pas très loin, et Sachi fait voyager les clients et clientes dans le temps.
Les règles de ce voyage particulier restent immuables, ainsi que la construction du livre : quatre chapitres pour quatre tranches de vie.
Le changement dans la continuité
J’ai trouvé plus de légèreté que dans l’opus précédent, Le café du temps retrouvé. Ce troisième tome offre une légèreté qui s’était perdue en chemin. Une écriture plus fluide et moins redondante également. Après une baisse de régime, le changement de décor est donc le bienvenu !
Les délicats allers retours dans le temps
Maîtriser les voyages dans le temps et les croisements temporels n’est pas chose aisée. Ainsi, je me suis posé une question à laquelle je n’ai pas su vraiment répondre. Dans la première histoire, La jeune femme qui voulait passer un savon à ses parents : comment et pourquoi Miyuki n’a-t-elle pas reconnu (ou semblé reconnaître) Yayoi quand celle-ci a pris une photo ?
Mais peut-être est-ce à dessein, et Toshikazu Kawaguchi ouvre ainsi la porte des questions !
Formats proposés à la bibliothèque
Outre le format de poche classique, le catalogue et le réseau des bibliothèques de Montréal proposent Le café où vivent les souvenirs sous les formats suivants :
- Livre parlant
- Version anglaise (Before your memory fades)
- Version anglaise numérique

